Développer le langage oral
à l'aide de dictaphones
Les faits
Le client
Aurélia Onyszko, Florange, France
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La solution
Enregistreur audio VoiceTracer
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Logiciel de reconnaissance vocale VoiceTracer
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Aurélia Onyszko est co-auteure avec Anne Larcher, Evie Laversanne, Adeline Michel et Séverine Walker de l'ouvrage "Enseigner en classe flexible" paru aux éditions Retz. Elle anime aussi le blog « Maitresse Aurel », sur lequel elle partage auprès d’autres professionnels ses créations et réflexions pour les rendre utiles à d’autres.
Favoriser l’inclusion scolaire
Enseignante en CP depuis trois ans, Aurélia Onyszko a auparavant occupé des postes divers et variés allant de la SEGPA à la classe unique en passant par la direction d'école…
Aujourd’hui stabilisée au CP, un niveau qui la passionne et impliquant une étape cruciale dans le parcours scolaire des enfants, elle exerce dans une école accueillant parmi ses élèves des enfants venant d’arriver en France et dont le français n’est pas la langue maternelle (Allophone). En plus des 25 élèves de sa classe elle accueille également des élèves du dispositif ULIS de son établissement lors des temps d’apprentissage de lecture et d’écriture.
Dégager du temps en classe flexible
Aurélia travaille également en classe flexible, impliquant qu’elle œuvre avec la moitié de sa classe sur une notion pendant que l’autre est en autonomie. Pour ce second temps de travail, une des activités possibles est la lecture à voix haute. Les élèves peuvent aller d’eux-mêmes s’enregistrer dans le coin « bibliothèque ». Chacun peut alors travailler sa lecture à son rythme ce qui n’est pas toujours évident à mettre en oeuvre dans une classe de 25 élèves ou plus. Chaque élève a la possibilité et le temps nécessaire pour s’entraîner à lire à voix haute grâce à l’enregistrement. Aurélia peut prendre le temps de les écouter, tous, le soir avant d’en faire un retour si besoin par la suite.
Très pratique et simple d’utilisation les dictaphones Philips sont devenus un objet quotidien de travail dans ma classe. Je ne pourrais plus m’en passer.
Aurélia Onyszko
Enseignante, Florange, France
“
Un outil technologique aux bénéfices considérables, adopté par les enfants
Lorsque qu’Aurélia l’a introduit dans sa classe les élèves ont tout d’abord été surpris par cet outil sans écran tactile. Puis la prise en main s’est faite naturellement ! Aujourd’hui trois dictaphones Philips sont mis à la disposition des élèves au sein de la classe. Le dictaphone est très simple d’utilisation, les enfants n’ont qu’à appuyer sur le bouton d’enregistrement et une lumière rouge leur indique qu’ils peuvent commencer à parler pour pouvoir être entendus et écoutés par leur enseignante. « Je pense que le dictaphone est un outil pédagogique qui mérite d’avoir sa place dans les classes. Il permettrait d’avoir par exemple une trace de tous les progrès fait par l’enfant en petite section où le langage oral est un gros domaine. Cela serait une solution géniale ! On pourrait enregistrer très facilement chaque enfant depuis le début de sa scolarité, à différents moments de l’année ou du cursus pour garder des traces et constituer un dossier qui pourrait être remis aux familles par exemple sur une clef USB, en fin de maternelle. »
Aider chacun individuellement à passer de l’orale à l’écrit
C’est dans ce contexte, impliquant des différences considérables de niveau parmi les élèves, qu’Aurélia Onyszko essaye de mettre en place des dispositifs adaptés : « Avec mes collègues, nous essayons de sortir de la classe ordinaire et réfléchissons à des fonctionnements qui répondent aux besoins du public que l’on accueille ». Très vite, la mise à disposition de dictaphones Philips dans sa classe va s’avérer devenir un outil d’aide très précieux pour les élèves allophones en difficulté ou pour les activités autonomes.
« J’utilise les dictaphones Philips dans de nombreux domaines d’enseignements ou des activités très diverses. Son utilité prend tout son sens en langage oral, ou il offre la possibilité d’enregistrer aisément les élèves allophones, pour travailler leur prononciation. Ils peuvent ainsi se réécouter sur le vif et corriger leur diction pour s’améliorer.
Le dictaphone me sert aussi pour la production d’écrits. Certains élèves sont tout à fait capables d’inventer une histoire mais parviendront difficilement à la passer à l’écrit, étape qui demande beaucoup d’efforts et de compétences différentes. Les dictaphones me permettent ainsi de les enregistrer pour garder une trace de ce qu’ils sont capables de produire en écriture d’invention. En passant par l’enregistrement, lorsqu’un enfant produit une histoire, je peux valider sa compétence à créer une phrase, notamment chez les élèves qui ne parlent pas encore bien français. »